25 août 2008
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Pourquoi un produit sauvage a-t-il une Bio-Activité
supérieure à celle d'un produit cultivé?
Une plante est comme un être humain; la manière dont ellle est traitée influe tout naturellement non seulement sur sa croissance mais aussi sur sa vitalité et donc sur ses caractéristiques intrinsèques.
Une plante de serre - c'est bien connu - est beaucoup plus fragile qu'une plante exposée au soleil, au vent, et à toutes sortes d'intempéries comme la pluie, la grêle, la neige, le gel, les tempêtes en tous genres, etc.
De même, même en faisant abstraction des différences de variété, un goji poussant en altitude a plus d'anti-oxydants que le même goji poussant en plaine. Car c'est pour réagir contre les difficiles conditions extérieures que la plante est amenée à fabriquer davantage d'anti-oxydants.
C'est une réaction d'adaptation, comparable, par exemple, à celle des acacias sécrétant davantage de tannin pour se défendre contre les trop nombreux coudoux (variétés d'antilopes) qui mangent trop de leurs feuilles et menacent donc jusqu'à leur survie.
Bien sûr, il y a quand même des limites à cela, car ,passés 4500 mètres d'altitude, la plante arrivera peut-être encore à survivre mais elle végètera à cause des conditions extérieures devenues par trop difficiles.
Un être humain en proie à de difficiles conditions de vie l'obligeant à intensément se bouger sera plus résistant et vivra plus longtemps que le même être humain vivant dans un trop émollient confort. Par contre, bien sûr, si les conditions deviennent par trop difficiles, cela finira aussi par provoquer l'effet inverse.
Même si l'on peut en trouver du sauvage encore plus haut, un goji poussant dans des vallées retirées se trouvant entre deux mille et trois mille mètres d'altitude aura donc, du fait des conditions extérieures suffisamment stimulantes mais sans excès, les meilleures conditions lui permettant de développer le maximum d'anti-oxydants bénéfiques aux êtres humains.
Traiter une plante en la "bichonnant" de trop n'est donc pas le meilleur moyen de lui faire donner le maximum de son potentiel. De même qu'une vie trop commode affaiblit aussi les êtres humains jusqu'à les rendre malades, une plante qui n'a pas besoin d'affronter des conditions extérieures suffisamment toniques va perdre ou ne pas développer une partie de ses meilleures propriétés.
Ceci est probablement la principale raison, de façon générale, quant aux effets bénéfiques sur la santé, de la supériorité naturelle des plantes sauvages ou même partiellement sauvages sur les plantes cultivées.
Une plante de serre - c'est bien connu - est beaucoup plus fragile qu'une plante exposée au soleil, au vent, et à toutes sortes d'intempéries comme la pluie, la grêle, la neige, le gel, les tempêtes en tous genres, etc.
De même, même en faisant abstraction des différences de variété, un goji poussant en altitude a plus d'anti-oxydants que le même goji poussant en plaine. Car c'est pour réagir contre les difficiles conditions extérieures que la plante est amenée à fabriquer davantage d'anti-oxydants.
C'est une réaction d'adaptation, comparable, par exemple, à celle des acacias sécrétant davantage de tannin pour se défendre contre les trop nombreux coudoux (variétés d'antilopes) qui mangent trop de leurs feuilles et menacent donc jusqu'à leur survie.
Bien sûr, il y a quand même des limites à cela, car ,passés 4500 mètres d'altitude, la plante arrivera peut-être encore à survivre mais elle végètera à cause des conditions extérieures devenues par trop difficiles.
Un être humain en proie à de difficiles conditions de vie l'obligeant à intensément se bouger sera plus résistant et vivra plus longtemps que le même être humain vivant dans un trop émollient confort. Par contre, bien sûr, si les conditions deviennent par trop difficiles, cela finira aussi par provoquer l'effet inverse.
Même si l'on peut en trouver du sauvage encore plus haut, un goji poussant dans des vallées retirées se trouvant entre deux mille et trois mille mètres d'altitude aura donc, du fait des conditions extérieures suffisamment stimulantes mais sans excès, les meilleures conditions lui permettant de développer le maximum d'anti-oxydants bénéfiques aux êtres humains.
Traiter une plante en la "bichonnant" de trop n'est donc pas le meilleur moyen de lui faire donner le maximum de son potentiel. De même qu'une vie trop commode affaiblit aussi les êtres humains jusqu'à les rendre malades, une plante qui n'a pas besoin d'affronter des conditions extérieures suffisamment toniques va perdre ou ne pas développer une partie de ses meilleures propriétés.
Ceci est probablement la principale raison, de façon générale, quant aux effets bénéfiques sur la santé, de la supériorité naturelle des plantes sauvages ou même partiellement sauvages sur les plantes cultivées.