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gojisante@gmail.com

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Le Goji est, très certainement, l'un des plus merveilleux Cadeaux offerts, dans la Nature, par le Créateur de Tout. Le présent site a pour fonction de modestement offrir aux chercheurs en quête d'une aide valable pour soutenir leur santé chancelante une information de base sur le goji et ses principaux bienfaits. Au fur et à mesure des nouvelles expérimentations il s'enrichira des nouveaux témoignages fournis par de nouveaux bénéficiaires de cet authentique Don du Ciel et de la Terre!

Archives

6 mai 2009 3 06 /05 /mai /2009 17:06

Bonjour,

Je prends du goji depuis 4 semaines... Je suis atteinte d'une fibromyalgie... Ce début est magique, vraiment...

Pourriez-vous m' indiquer si il convient de prendre le goji à vie? En cures?

Avec quelles fréquence ou interruption, si nécessaire?

Un grand merci pour votre aide
Meilleurs messages

V.

Réponse:

Si le goji est pris tout le temps, surtout pour des Occidentaux (parce que cela ne pousse pas - ou pas encore - naturellement chez nous), après six mois environ les effets bénéfiques vont moins se faire sentir... Car l'effet nouveauté n'existera plus. Or, une partie des bienfaits de toute cure provient déjà du changement lui-même.

Il convient donc, pour les Occidentaux, de faire des cures et non d'en prendre tout le temps.

La cure optimale est, la pemière année, de six mois, mais ces six mois gagnent sans doute à être découpés en deux périodes de trois mois, avec, par exemple, un mois d'interruption...

Les années suivantes, en fonction des besoins ressentis, un mois ou deux ou trois dans l'année pourront suffire... Naturellement, l'effet bénéfique sera encore plus flagrant  ou  - comme vous dîtes - "magique" si vous prenez du goji sauvage...


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23 avril 2009 4 23 /04 /avril /2009 11:36

B
onjour,

Je cherche à me procurer du Lycium Tibeticum en France. Pourriez vous m'indiquer des adresses correspondantes?

Je vous remercie par avance de votre coopération.
Cordialement,
M A

Bonjour,

Vous pouvez en demander en écrivant à gojisante@gmail.com.

D'autre part pourriez vous me faire part de vos commentaires:

a)  Vaut-il mieux consommer du lycium tibeticum en jus ou en baies séchées :1/ pour un adulte, 2/ pour un enfant?

Bien que le sujet ait déjà été abordé sur le site, une réponse est redonnée ici: Dans les deux cas, bien que, dans l'absolu, pouvoir bénéficier d'un jus d'aussi excellente qualité que les baies séchées serait également intéressant, les baies séchées sont, toutefois, préférables, pour deux raisons:

1) L'on ne trouve pas dans le commerce de jus de lycium tibeticum (il n'y en a probablement pas assez pour faire du jus à grande échelle), mais seulement du jus de goji sauvagecultivé.

2) Le conditionnement en jus fait inévitablement surgir le problème de la conservation. Soit le jus est au moins flash-pasteurisé - ce qui est moins préjudiciable que la pasteurisation complète mais lui fait quand même perdre une partie non négligeable des ses propriétés bénéfiques - soit il contient des conservateurs (genre benzoate de sodium), en général chimiques, et donc cancérigènes, ce qui, pour un produit réputé faire régresser les tuméreuses cancéreuses, est loin d'être idéal!

Remarque: En réhydratant les baies séchées il est possible de refaire du jus.

Bien sûr, l'idéal, en ce qui concerne le jus, serait de pouvoir boire (sur place!) du jus de baies sauvages fraîches et mûres, lui-même fraîchement pressé..

b) Peut-on faire consommer du lycium tibeticum à un enfant de 2 ans qui rencontre des problèmes de croissance?

Sans problème (s'il ne prend pas, par ailleurs, de médicaments chimiques)! C'est même très recommandé!

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17 avril 2009 5 17 /04 /avril /2009 20:45
Question: Pourquoi le goji sauvage tibeticum est-il critiqué par certains?

Réponse: Probablement, parce que ... ils ne l'ont pas essayé!!! (lol) A moins qu'il ne s'agisse, au contraire, de critiques tout à fait intentionnelles émanant de vendeurs de goji cultivé, craignant que le goji sauvage fasse de l'ombre à leur commerce. Le goji sauvage est, en fait, le seul qui, à l'origine, porte le nom de "gojiberry" (baie de goji). Les baies chinoises  cultivées en plaine sont, en réalité, des "wolfberries" ["baies de loup"?], donc pas des "gojiberries". Le nom de goji devrait donc être réservé au goji sauvage. Ce n'est que pour des raisons publicitaires et commerciales qu'il a été arbitrairement étendu aux wolfberries. Certains en sont tout à fait conscients, d'autres pas. Celui qui, dans la Nature, recherche, avant tout, le pur et le noble ne se laissera jamais abuser par des affirmations péremptoires nées de représentations trop étroites et, à l'écoute de son propre ressenti, finira toujours, en ce domaine aussi, par trouver ce qu'il cherche...   
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3 janvier 2009 6 03 /01 /janvier /2009 11:40

 

Questions au sujet du goji

 

Est-il vrai que la consommation de goji sauvage permet de maigrir?

Différents témoignages montrent, en effet, que le goji, surtout le sauvage, peut efficacement réguler le poids de personnes en surpoids. Il n'est, bien sûr, pas possible de le garantir à l'avance à toute personne en surpoids, mais, certainement cela vaut le coup d'essayer... Des personnes perdent ainsi fréquemment de six à dix kilos. Naturellement ne maigrissent et perdent du poids que les personnes dont le corps en a besoin, pas les autres! Aussi bien, pour des personnes trop maigres, le goji les fera "grossir" - donc prendre du poids -.


Le goji peut-il faire noircir des cheveux blancs?

Cela s'est vu, en effet, que des personnes ayant consommé du goji sauvage aient constaté une repigmentation de leurs cheveux, mais, là aussi, cela n'est pas  automatiquement garanti à tout le monde, car chacun est différent et réagit d'une manière qui lui est propre. De plus, la dépigmentation peut avoir de nombreuses, causes, qui ne sont pas toutes liées à l'âge.

Le goji peut-il empêcher les cheveux de tomber lors d'une chimiothérapie?

Là encore il existe des témoignages de consommateurs de goji sauvage qui peuvent le donner à penser, mais, pour pouvoir l'affirmer sans contredit, il faudrait pouvoir vérifier de telles choses de manière rigoureuse sur un grand nombre
de cas, chez des personnes ayant suivi exactement le même type de chimiothérapies, car elles ne font pas toutes tomber les cheveux...

En tous cas, face à de tels témoignages, outre les propriétés antitumorales reconnues du goji, il y a tout bénéfice à expérimenter soi-même, car il n'y a qu'ainsi qu'il est possible de se faire une conviction réellement personnelle au sujet de la valeur intrinsèque d'un produit et des bienfaits personnels qu'il est possible d'en retirer, ce qui, toujours, variera beaucoup d'une personne à l'autre.

En outre, le prix du goji, même sauvage, semblera dérisoire à côté de celui d'une chimiothérapie...

Quel est le meilleur goji pour se soigner?

Comme déjà précisé, le goji cultivé peut aussi donner de bons résultats, mais il semble qu'à cause de sa vigueur naturelle, probablement liée à l'altitude où il pousse (aucun fruit ni même aucun produit comestible ne pousse plus haut que le goji sauvage), les meilleurs résultats soient  fréquemment donnés par le goji sauvage. Encore plus important que la composition d'un produit naturel est, en effet, la bio-vitalité qui en émane, laquelle ne peut vraiment être vérifiée que par l'expérimentation individuelle.

A quand le goji remboursé par la sécurité sociale?

Le goji exerce-t-il un effet fluidifiant sur le sang?
Oui. Il convient d'en tenir compte, si l'on veut en prendre et si l'on prend, par ailleurs des médicaments anti-coagulants, car l'effet du goji s'ajoute alors à celui des médicaments. Les médecins avisés diminuent alors la dose d'anti-coagulants chimiques.
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19 décembre 2008 5 19 /12 /décembre /2008 08:35

La baie de goji, une alliée
pour défendre l'organisme


"La baie La baie de goji, une alliée pour défendre l'organisme", c'est sous ce titre que le magazine "Pratiques de Santé" , sous la signature de B. Taffin, parle du goji dans son dernier numéro de Décembre 2008.

Extraits de l'article

"Le goji, une baie qui pousse dans l'Himalaya, puise sa richesse nutritionnelle hors du commun dans sa capactité à survivre en climat extrême. Sa réputation gagna aujourd'hui l'Occident. De nombreuses études scientifiques ont révélé la singularité de ses polysaccharides et présence d'un composant rare, le germanium. Tandis que sa culture se répand dans le Nord de la Chine." (...)

Commentaire: La première chose qui est mise en avant par la revue "Pratiques de Santé" c'est la capacité de la plante à survivre en climat extrême. C'est précisément pour cette raison que le goji poussant en altitude (climat extrême) a une plus grande richesse nutritionnelle que celui qui pousse en plaine.

"Les  médecines traditionnelles tibétaine, chinoise et ayurvédique utilisent les baies et les racines de goji depuis des millénaires pour son efficacité étonnante sur le foie, la vision, et les systèmes cardio-vasculaire et nerveux." Plus d'une centaine d'études scientifiques ont depuis confirmé toutes ces aplications, attribuables en partie aux quatre polysaccharides fabriqués par le goji pour résister au stress." (...)

Commentaire: Il s'agit, bien évidemment, du stress climatique, dû à l'altitude, où pousse, de façon entièrement naturelle, le goji poussant tout seul dans la Nature.

"Les plantes qui fabriquent le plus de polysaccharides sont celles qui sont soumises aux plus grand stress, qui peuvent être causés par des températures extrêmes, une altitude très élevée, ou de fortes précipitations."

Commentaire: Il est clair, de ce point de vue, que les variétés acclimatées par l'homme pour pousser en plaine perdent, par adaptation à des conditions extérieures nettement plus faciles pour la plante, une partie de leurs capacités à fabriquer ces précieuses molécules de défense. D'où la supériorité naturelle des plantes d'altitude, possédant, de ce simple fait même, une bien plus grandebio-activité.

"Ces polysaccharides sont assimilables par l'homme et, comme pour les plantes, ils le protègent de toutes les maladies en régulant le système immunitaire."

Commentaire: Ceci explique donc, tout naturellement aussi, l'extraordinaire amplitude d'applications du goji sauvage.

"Elles stimulent les systèmes immunitaires hypo-actifs ou, à l'inverse, ralentissent les hyperactifs à l'origine des maladies auto-immunes. Les polysaccharides préviennent également les complications cardio-vasculaires, équilibrent le taux de sucre sanguin, abaissent le taux de cholestérol et augmentent l'absorption du calcium.

Enfin plusieurs études montrent leur capacité à inhiber la croissance des tumeurs et à neutraliser les effets secondaires de la chimiothérapie."

Commentaire: Il ressort de là que le goji vivant dans les conditions climatiques les plus difficiles et fabriquant ainsi le plus de polysacharides anti-stress est le plus approprié à faire régresser les tumeurs cancéreuses.

Parmi les effets secondaires fort négatifs de la chimiothérapie il y a le fait que les malades soignés par chimiothérapie, le plus souvent, perdent leurs cheveux. Or il a été vérifié que la prise de goji sauvage pendant une chimiothérapie peut éviter aux cheveux de tomber! Ce qui évite de devoir, pour ces malades, à avoir recours à l'artifice d'une perruque. C'est assurément un point très positif à l'actif du goji!

"La vitamine de l'oxygène - Aussi appelée vitamine O (pour Oxygène) le germanium organique est capable de favoriser l'oxygénation des cellules. Le goji se classe en tête des plantes ayant la plus forte concentration en germanium, avec l'aloès et le ginseng. Or la principale cause d'un cancer est le manque d'oxygène dans l'organisme. Otto Warburg, Prix Nobel de médecine, a démontré que le germanium organique, en facorisant l'oxygénation des cellules, réduit considérablement le risque de cancer."

Commentaire: Chacun sait qu'en altitude l'oxygène est rare. Il n'est donc pas surprenant que, pour compenser cette carence en oxygène, le goji d'altitude soit contraint de se fabriquer une molécule spéciale pour accroître l'oxygénation de ses cellules. 

"Le fruit de la longévité - Pas plus gros qu'une framboise, le goji est pourtant le champion toutes catégories des antioxydants. Il contient 18 sortes d'acides aminés dans des quantités huit fois supérieures au pollen, qui est pourtant une référence en la matière. Il est quatre cent fois plus riche en vitamine C que l'orange et renferme 13% de protéines de plus que le blé entier." (...)

"La baie de goji contient aussi des béta-sisterols aux propriétés anti-inflammatoires et de la bétaïne, utilisée par le foie pour produire de la choline, molécule garantissant l'intégrité des membranes cellulaires."

"Cet intérêt nutritionnel est, bien sûr, lié aux conditions naturelles dans lequel pousse le goji." (...)

Commentaire: C'est le bon sens même. L'intérêt du goji dépend de là où il a poussé, certes de la qualité du sol, de l'exposition, etc., mais aussi et surtout de l'altitude. Plus une plante pousse haut, plus elle est contrainte, pour survivre, de développer des qualités et des propriétés exceptionnelles. Ceci ressort d'une loi de la Nature, la loi de l'adaptation. Jamais une plante de serre n'offrira autant de vitalité qu'une plante sauvage! Or le goji sauvage est la plante comestible qui pousse le plus haut sur la Terre!

"En France, on le trouve sous forme de baies déshydratées. Vous en consommerez une poignée (30 grammes) par jour."

Commentaire: Une poignée peut, en effet, suffire, à titre préventif, pour les personnes bien portantes. Pour les autres, deux poignées et plus sont recommandées.













 
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7 octobre 2008 2 07 /10 /octobre /2008 22:34

 

Un bouton infectieux disparaît
comme par enchantement
Après quelque temps de consommation de goji semi-sauvage, une utilisatrice témoigne:

"J'habite en Nouvelle Calédonie et j'ai entendu parler de ces fameuses baies par une amie les utilisant après une grave maladie.

J'ai commencé, comme elle, à les commander en Australie, puis j'ai décidé de passer commande de goji sauvage en France.

Souffrant d'un problème dentaire récurrent depuis plusieurs mois - à savoir: éruption régulière d'un petit bouton de pus sur la gencive au dessus de la dent de devant, qui avait été traumatisée -, il avait été envisagé {pour moi} de la remplacer par un implant.

Je n'étais pas vraiment décidée et j'ai bien fait d'attendre! Depuis que je consomme ces baies, plus rien! Et l'effet à été très rapide!

Je les utilise à raison d'une petite poignée 5 fois par semaine, avant ma séance de sport. Je les ai recommandées à d'autres personnes depuis.

Voilà, mon témoignage est simple, mais il prouve que ces petites baies ont un effet désinfectant et cicatrisant, entre autres.

Cordialement,

C. A."

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7 octobre 2008 2 07 /10 /octobre /2008 22:23

Avis aux amateurs et amatrices
de belle peau

Après deux mois de consommation de goji semi-sauvage, une consommatrice délivre un premier témoignage:

"Au sujet des effets sur mon organisme de la consommation de goji {je peux dire que} n’ayant commencé l’ingestion qu’au début du mois d’Août (...) j’attends donc la fin des 6 mois environ (durée prévue de ma cure) pour vous faire part des résultats.

{Toutefois,} je peux, d’ores et déjà, vous signaler qu’à plusieurs reprises des personnes de mon entourage m’ont fait remarquer une amélioration de l’éclat de mon teint (très brouillé jusque là).

Par ailleurs, personnellement, et dans un premier temps, je constate la disparition progressive de ma couperose et, plus encore, de la rosacée qui s’était installée, il y a un an.

Je vous recontacterai donc au courant du mois de février prochain.

Mes meilleures salutations. - A. W -."


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2 septembre 2008 2 02 /09 /septembre /2008 22:29

Différences entre goji semi-sauvage et goji cultivé


Outre le fait qu'il est considérablement plus rare, le goji semi-sauvage ("tibeticum"), dont on ne trouve, commercialisé en Europe, que des baies séchées venant de Mongolie, ressemble extérieurement beaucoup au goji cultivé ("barbarum").

Mais, à bien y regarder et à bien sentir,
quand même, à l'œil et au goût finement exercés, quelques petites subtiles différences apparaissent...:

- Le goji semi-sauvage est un peu plus foncé de couleur; le rouge est plus profond, un peu plus sombre.

- De taille, les baies séchées de goji semi-sauvage sont aussi très légèrement plus petites...

- A mastiquer, le goji semi-sauvage en baies séchées est un peu plus ferme; il se désagrège, sous l'action de la salive et des dents, un peu moins vite.

- II est aussi un peu plus goûtu; son goût est un petit peu plus prononcé et reste un petit peu plus longtemps en bouche.

Ce ne sont là, toutefois, que des différences  extérieures assez ténues, qui n'apparaissent que lorsque l'on prend la peine de bien comparer les deux, mais qui peuvent servir, à un consommateur averti et exercé, à faire la différence...

Bien sûr, la principale différence demeure la bio-activité (irradiation naturelle d'un produit vivant), dont les appareils physiques courants ne peuvent rendre compte, puisqu'elle est d'un genre trop subtil pour être mesuré par des instruments de mesures physiques.

Or c'est précisément cette différence que êtres particulièrement sensibles, ou des radiesthésistes, à l'aide, par exemple, de l'échelle mise au point par Bovis, arrive à objectiver, ce qui ne peut se faire que par la comparaison et la moyenne de résultats obtenus par différentes personnes indépendamment les uns des autres.

Pour en savoir plus sur le "biomètre" de Bovis et comprendre comment il fonctionne, l'on peut, par exemple, se référer au lien suivant:



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25 août 2008 1 25 /08 /août /2008 10:04

Pourquoi un produit sauvage a-t-il une Bio-Activité
supérieure à celle d'un produit cultivé?



Une plante est comme un être humain; la manière dont ellle est traitée influe tout naturellement non seulement sur sa croissance mais aussi sur sa vitalité et donc sur ses caractéristiques intrinsèques.

Une plante de serre - c'est bien connu - est beaucoup plus fragile qu'une plante exposée au soleil, au vent, et à toutes sortes d'intempéries comme la pluie, la grêle, la neige, le gel, les tempêtes en tous genres, etc.

De même, même en faisant abstraction des différences de variété, un goji poussant en altitude a plus d'anti-oxydants que le même goji poussant en plaine. Car c'est pour réagir contre les difficiles conditions extérieures que la plante est amenée à fabriquer davantage d'anti-oxydants.

C'est une réaction d'adaptation, comparable, par exemple, à celle des acacias sécrétant davantage de tannin pour se défendre contre les trop nombreux coudoux (variétés d'antilopes) qui mangent trop de leurs feuilles et menacent donc jusqu'à leur survie.

Bien sûr, il y a quand même des limites à cela, car ,passés 4500 mètres d'altitude, la plante arrivera peut-être encore à survivre mais elle végètera à cause des conditions extérieures devenues par trop difficiles.

Un être humain en proie à de difficiles conditions de vie l'obligeant à
intensément se bouger sera plus résistant et vivra plus longtemps que le même être humain vivant dans un trop émollient confort. Par contre, bien sûr, si les conditions deviennent par trop difficiles, cela finira aussi par provoquer l'effet inverse.

Même si l'on peut en trouver du sauvage encore plus haut, un goji poussant dans des vallées retirées se trouvant entre deux mille et trois mille mètres d'altitude aura donc, du fait des conditions extérieures suffisamment stimulantes mais sans excès, les meilleures conditions lui permettant de développer le maximum d'anti-oxydants bénéfiques aux êtres humains.

Traiter une plante en la "bichonnant" de trop n'est donc pas le meilleur moyen de lui faire donner le maximum de son potentiel. De même qu'une vie trop commode affaiblit aussi les êtres humains jusqu'à les rendre malades, une plante qui n'a pas besoin d'affronter des conditions extérieures suffisamment toniques va perdre ou ne pas développer une partie de ses meilleures propriétés.

Ceci est probablement la principale raison, de façon générale, quant aux effets bénéfiques sur la santé, de la supériorité naturelle des plantes sauvages ou même partiellement sauvages sur les plantes cultivées.
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29 juillet 2008 2 29 /07 /juillet /2008 08:17

Le Lycium Tibeticum existe-t-il?

Certains sites, qui vendent du Lycium Barbarum, affirment, tout de go,  probablement pour tenter d'éliminer cette possible conccurrence, que le Lycium Tibeticum n'existerait tout simplement pas. Pour justifier cette assertation ils disent que l'on ne trouve pas cette appellation dans la nomenclature officielle scientifique des plantes.

De ce fait, la question est souvent posée par des personnes désirant y voir clair de savoir si oui ou non le Lycium Tibeticum existe?

A ce sujet, l'on peut dire que, s'il est exact que l'appellation "Lycium Tibeticum" n'existe pas encore officiellement dans la Botanique occidentale (une demande d'officialisation de ce nom  latin par l'Institut Tibétain Tanaduk, serait, toutefois, en cours...), - ce qui n'empêche pas un nombre croissant de consommateurs de goji de l'utiliser! -, le produit (le fruit de goji sauvage), lui, existe, cependant, bel et bien, et c'est bien ce qui compte!

En Botanique officielle, il semble être présentement appelé "Lycium Chinensis". Sa composition biochimique semble, toutefois, être assez proche de celle du lycium barbarum, auquel, extérieurement, il ressemble, car il est, en effet, très différent d'un produit provenant de Chine appelé par certains fournisseurs chinois "Lycium Chinense", lequel est nettement plus petit et plus amer que le doux et modérément sucré goji semi-sauvage de Mongolie.

Ce qui importe vraiment, quelle que soit la façon dont on appelle le goji sauvage ou seulement semi-sauvage, est donc de savoir clairement distinguer le goji semi-sauvage (
provenant, au départ, uniquement de Mongolie, car, pendant un temps, paradoxalement, le Tibet, sous contrôle de la Chine, n'exportait pas de "Tibeticum"!) poussant  naturellement en altitude du goji cultivé le plus souvent en plaine avec des méthodes d'agriculture modernes.

En résumé, nous ne savons pas encore si le Lycium Tibeticum va prochainement officiellement exister en tant qu'appellation latine scientifique, mais nous savons que le fruit sauvage populairement  déjà ainsi désigné, lui, existe bel et bien et qu'il est donc possible de s'en procurer (à un coût généralement un peu plus élevé, il est vrai) à ceux qui sont prêts à payer un peu plus cher le prix de l'authenticité.

Rappelons, en effet, à ce sujet, que le Lycium Barbarum cultivé dérive du goji sauvage tibétain. Il est donc facile de comprendre que c'est la plante-mère qui fournit, sans altérations introduites par l'activité humaine,  outre le pouvoir vibratoire (Bio-Activité) le plus puissant (généralement mesuré en unités Bovis), le plus d'intéressantes propriétés naturelles. La Bio-Activité du goji sauvage ou semi-sauvage est, en effet, généralement estimée par les radiesthésistes comme étant de 20% à 30% supérieure à celle du goji cultivé.

Plus que de s'attacher à des appellations il est donc important de s'attacher au produit, quelle que soit la manière, scientifique, culturelle ou populaire, avec laquelle on le désigne. Pour celui qui veut être sûr de trouver le produit le plus bio-actif pour son corps et sa santé, il convient juste de partir - quelque soit son appellation, - scientifique  ou populaire -, en quête du goji le plus sauvage possible.

Ajoutons en cela que - historiquement considéré  - et ce que peut semblent savoir -  le mot "goji" ne désigne, en fait, que le goji sauvage, donc la variété appelée "tibeticum" et non pas la variété cultivée "lycium barbarum", pour laquelle existe, en anglais, le mot "wolfberry" ("baie du loup"?), qui est donc le vrai nom du lycium barbarum, distinct du nom "gojiberry" (baie de goji), lequel nom devrait donc être réservé au goji sauvage du Tibet ou de la Mongolie.

Ce n'est donc que par abus de langage, motivé par des préoccupations appartenant au marketing et non à la science que les "wolfberries" ont été abusivement rebaptisées "gojiberries", ce qui a largement contribué à entretenir la confusion régnant présentement, à ce sujet, dans une large partie du public. En bref, en toute légitimité, le mot de goji devrait être réservé au goji sauvage ou semi-sauvage, ce qui fait que, si cela avait été respecté, il n'aurait pas été nécessaire d'appeler celui-ci "tibeticum" pour le distinguer du goji cultivé  "barbarum" (mot signifiant, du reste, "barbare" et donc "commun") aujourd'hui largement le plus répandu.

A signaler aussi que, du reste, les marchands de Lycium Barbarum n'ont gère de soucis à se faire, car - la ressource n'étant pas illimitée - le Goji Sauvage - surtout le 100% sauvage, qui est devenu très, très rare! - restera - commercialement parlant - un produit marginal, du simple fait  - comme l'on dit - que, selon toute vraisemblance, '"il n'y en a pas pour tout le monde"! De ce fait, la production et la commercialisation artisanales de goji  semi-sauvage en baies  séchées ne peuvent pas vraiment concurrencer le goji "industriel" chinois, notamment beaucoup utilisé pour faire du jus souvent ensuite commercialisé, en particulier en Amérique, de façon très publicitaire, en marketing de réseau.

Là comme toujours, dépend, pour chacun, de bien considérer ses objectifs, autrement dit de savoir ce qu'il cherche. Il est dit "Qui cherche, trouve!" mais il est aussi bien connu que "L'on ne trouve que ce que l'on cherche!".

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